Voir les avis sur Google et sur notre page Facebook.
OBJECTIFS PEDAGOGIQUES
* Apprendre et améliorer la construction d’une série photographique.
* Construire une démarche plastique, une cohérence artistique dans l’approche d’un sujet.
* Se placer dans l’espace afin de trouver la juste distance entre le sujet et soi, proposer un point de vue.
* Réaliser une série nouvelle mais aussi pouvoir poursuivre et améliorer un travail déjà en cours.
COMPETENCES VISEES
Développer un langage visuel propre, une identité photographique.
PUBLIC VISE
Photographes professionnels, artistes, auteurs.
BIOGRAPHIE
Gabrielle Duplantier est une photographe française née en 1978.
Après des études en Arts Plastiques puis en Histoire de l’Art, elle s’investit seule dans la pratique de la photographie. Son travail est inspiré par les territoires proches, la nature, le portrait. Depuis des prises de vues souvent accidentées à des expérimentations en chambre noire, elle rapporte des images ou la puissance des formes, souvenir d’un apprentissage de peintre, s’allie à la fragilité des figures.
Mouvements suspendus, paysages organiques, instants crépusculaires, portraits habités de femmes ou d’enfants, Gabrielle poursuit l’affirmation, inquiète en même temps qu’obstinée, de son point de vue de sujet, moins attaché à figer la réalité qu’à lui réclamer un droit de regard.
Elle a publié trois livres au éditions Lamaindonne: Volta (2014), Terres Basses (2018) et Wild Rose (2024).
Gabrielle et ses photographies. Toutes sont inspirées par une délicatesse et par une force brutale, une fougue et une grâce, quelque chose que la nuit dispute à la fois au démoniaque et à la candeur. Gabrielle tient de la brume et de l’éclat, elle doit au chêne et au roseau, au paysage et à la fantasmagorie. Au granit des désirs et au sable de la vie. Dans le livre qu’elle a signée, Volta, préfacé par Maylis de Kerangal, son grand art se retrouve tout assemblé comme un chemin de pluie, de fougères, de femmes d’un autre temps, de pays et encore de pays, de choses vues à moins qu’elles ne soient le seul fruit de la poudre d’un instant.