For my project during this workshop I decided to document different moments of Placa de Virreina’s nightlife. The Placa is in the heart of Barrio de Gracia and it’s an attraction at any time of night…until very late! A continuous stream of people is filling the Placa in its warm and « orangy » light: people are working, strolling around, chatting, drinking, singing…coming towards me to ask what the big camera is about! I love this kind of variety where each person has a story to tell, especially here in Barcelona where the warmth of the people is almost physically embracing you.


I am Valeria and I am Italian. Photography is my great passion, and -someone says I am lucky- still not my job! I mostly photograph while travelling, I love street photography, people and portraits. I strongly wanted to attend this workshop to meet Miss Atwood and to learn from her. This was surely an amazing experience and I learned a lot.
Portfolio du workshop Photographie Narrative avec J-E Atwood, Octobre 2012.
Revue écrite par
SANDRO IOVINE,
Directeur de publication de FPmag
Valeria dit qu'elle veut montrer différents moments de la vie nocturne de Place Virreina. Mais qu’est ce-que cela signifie? Une définition de ce genre ne peut conduire à un bon travail parce que trop générale. Pour décrire un lieu, il faut bien le connaître et, par conséquent, il ne suffit pas de se promener et photographier ce vous rencontrez, ce qui en fait est l’approche typique du touriste. Il n’est pas facile de décrire un endroit avec des images car il faut saisir l’ame du lieu, il y vivre comme ses habitants. C’est ce qui fait la qualité d’une histoire en images. Bien sûr, cela prend beaucoup de temps et nécessite de l’expérience.
Compte tenu du temps limité du workshop, dans le travail de Valeria Bozzi il y a quelque chose d’intéressant: par exemple sa décision de documenter ce qui se passe de nuit. La prochaine étape pourrait être d’une délimitation supplémentaire du champ d’action. Par exemple, se concentrer sur les jeunes en général, sur les filles, sur les couples ou sur les travailleurs, ...etc. Faire une sélection permet de simplifier le travail, même si cela prend un peu plus de temps. Dans la sélection et la construction d’un travail photographique, il est enfin nécessaire de considerer le rythme et la cohérance formelle des images choisies. Par exemple, la prémiere image de la séquence est très bonne et soutient parfaitement ce rȏle d’ouverture. J'aime vraiment la force graphique de cette première image, intrigante pour sa géométrie, sans trahir ce à quoi que nous pouvont nous attendre par la suite.
Mais il y a un problème: sur le plan formel l’image n’a aucun lien avec les autres, à l’exception de la forme des lumières sur le mur qui, dans la deuxième image, nous rappelle la géométrie des parapluies, bien observable dans la première. Cela suffirait, peut-être, s’il y avait uniformité de la couleur. Malheureusement, la première photo a des couleurs qui ont tendance à être froides, quand les autres sont caractérisées par des couleurs chaudes. Enfin, cette premère photo est la seule prise d'en haut. Ce dernier choix n'est pas mauvais du tout, mais dans ce travail, j'aurais préféré voir une vue général de la place Virreina, pour mieux comprendre le contexte dans lequel se déroule l'histoire. Parmis les onze photographies il y a seulement deux portraits (photo 6 et 8). Je croix que si Valeria avait inclus d’autres portraits, la séquence aurait pu avoir un rythme plus dynamique grâce à l'alternance des points de reprise.
Pour prendre ses photographies Valeria Bozzi a utilisé un objectif de 50mm, presque toujours à ouverture maximale. Un choix dicté par la lumière disponible certes, mais un choix qui oblige à garder une certaine distance du sujet, tout en assurant un rendu correct. Par contre,le rendu d’ un 50mm avec le sujet dans le contexte de la place Virreina est assez réduite. Et c'est un problème tout à fait perceptible dans ces images. Mon conseil pour les travaux futurs est d'essayer d'utiliser une plus courte focale (35-28-24mm) et de limiter le projet avec précision avant de commencer la prise de vue. Pour prendre des bonnes photos il faut avoir un bon concept de base. Pas seulement une idée générale de la façon sur “la vie nocturne sur la place Virreina”. De plus, avant de photographier quelqu’un dans la rue il est préférable de savoir attendre et réussir à créer une relation avec le sujet. Une prise de vue ne doit jamais “être volée”. mm, presque toujours à l'ouverture maximale. Un choix dicté par la lumière disponible, mais un choix qui oblige à garder une certaine distance du sujet, tout en assurant un rendu correct. Par contre la possibilité d'insérer un 50mm avec le sujet dans le contexte de la Virreina placa est réduite. Et c'est un problème tout à fait perceptible dans ces images.
Mon conseil pour les travaux futurs est d'essayer d'utiliser plus courte focale (35-28-24mm) et rapprocher les sujets. L'angle de vue du grandangle liera les sujects au contexte dans lequel ils se trouvent, en ajoutant aux photographies de goût de reportage qu’en ce moment semble manquer. Aussi, il faut traiter avec précision le projet avant de commencer la prise de vue. Pour prendre des bonnes photos vous il faut avoir une bonne idée. Pas seulement une idée générale de la façon de “la vie nocturne dans placa Virreina”. Et encore avant de photographier quelqu’un dans la rue est préférable de savoir attendre et créer une relation avec le sujet. Une prise de vue ne doit jamais “être volé”.