Dans un espace soigneusement composé, le réel semble inébranlable. Tout a une place définie, pourtant une faille se crée. L’humain dans sa posture contrarie l’apparente stabilité du lieu.
Dans une société qui veut de plus en plus tout contrôler, gérer les gens comme on gère des espaces.
J’ouvre la porte au singulier, celui qui ne rentre pas dans le moule, qui dérange. Le corps rentre dans l’espace pour lui donner de nouvelles perspectives. Un bouleversement anodin qui questionne les codes établis.


Laetitia d’Aboville est photographe indépendante depuis 2009.
Ses projets personnels s’intéressent principalement à la question de la place de chacun dans la société, ainsi qu’aux codes à casser: rentrer dans le moule, sortir du cadre, être dans la norme, appartenir à, …
D’autre part fascinée par les lignes, les répétitions, les perspectives et les applats involontaires, elle accorde une grande importance à la composition graphique.
Parallèlement à ses travaux personnels Laetitia d’Aboville met son regard singulier au service d’associations, d’entreprises ou d’institutions publiques.Reportages, portraits, chantiers ou paysages urbains, Laetitia se nourrit de tous les univers.
Portfolio from the The representation of today’s world workshop with Olivier Culmann, February 2016.
Personal meeting with
GABRIEL BAURET,
Independent curator and teacher