Santa Rosalia nun mori mai.
De mon enfance, je n’ai quasiment pas de photographies.
Cela a créé une faille, comme si je n’avais pas existé, – non révélée par la lumière.
C’est en 2020 que ce manque me saisit. La photographie devient alors une nécessité : un certificat de présence, un outil pour me donner corps.
Le questionnement de notre présence au(x) monde(s) constitue mon territoire d’exploration, – physique et photographique -, où s’invitent le quantique et la spiritualité.









